Buche de cette année N°1 Buche à la mousse de mangue lait de coco
Mon mari n'aime pas les buches traditionnelles avec un biscuit roulé, les enfants sont pas fans non plus. C'est alors que j'abandonne l'idée de faire une jolie buche bourée de chocolat.
Je veux vraiment des buches légères, pas trop sucrées, ni trop grasses, et un peu d'acidité. Donc j'ai opté une buche aux saveurs exotiques: mangue-lait de coco, puis une autre plus traditionnelle aux fruits rouges. Vous trouverez ici d'abord la recette de mangue-lait de coco.
Ingrédients (pour 6 personnes):
10 à 12 biscuits à la cuilière
1 grosse mangue bien mure
150ml lait de coco
100g sucre semoule
250ml crème fleurette bien froide pour la chantilly
2 feuilles gelatine
pour la décoration en caramel:
50 g sucre semoule (ici j'ai utilisé de la cassonade, ce qui donne cette couleur ambrée)
Couper la mangue en petits dés, préserver une partie pour la décoration. mixer le rester avec le sucre.
Tremper les feuilles de gelatine dans l'eau froide, chauffer le lait de coco, quand il bout, y ajouter les feuilles de gelatine, bien remuer.
Ajouter la purée de mangue dans le lait de coco, bien mélanger. Laisser refroidir.
Dans le bol du robot ou un saladier, verser la crème fleurette, et la fouetter pour monter la chantilly bien ferme. Attention à ne pas trop la monter non plus, sinon elle tourne en beurre.
Avec une maryse, ajouter une partie de la chantilly dans le mélange mangue-lait de coco, mélanger délicatement, et répéter l'opération jusqu'à ce que la chantilly soit totalement mélangée homogènement.
Dans un moule à cake (j'utilise ce moule car je trouve qu'il permet de déposer plus de mangue, et il change un peu l'aspect de buche), verser la mousse. Y couvrir des biscuits à la cuilière. Laisser prendre au congélateur pendant au moins 2 heures.
Pour la décoration en caramel:
dans une petite casserole (avec un fond assez epais, sinon le sucre en dessous brulera alors que celui dessus n'a pas encore le temps de fondre), faire chauffer le sucre au feu doux. Quand celà devient caramel, retirer du feu, et sur un papier sulfurisée, à l'aide d'une cuilière, dessiner les motifs que vous voulez, faites attention que le bas de vos motifs soit assez epais pour pouvoir tenir.
J'avais sorti la buche 8 heures avant la dégustation et la placé dans le réfrigirateur pour décongeler tranquillement. Juste avant de la présenter, j'ai déposer mes décorations caramel dessus ainsi que les dés de mangue. Attention, le caramel fond dans le réfrigirateur!
Gouter pour la rencontre parents-élèves du club d'escrime, macarons et cakes pops
Le club d'escrime de Yseult organise une rencontre parents-élèves demain, les parents vont devoir affronter leur enfants lors d'unmatch, et tout le monde doit emmener quelques choses pour le gouter. Je suis autant excitée que ma fille, le seul bémol, mon mari rentre la semaine prochaine, donc ce sera moi qui vais combattre? Pour faire court, mon mari m'a dit: aïe aïe et aïe...
Donc, pour pas que tout le monde se moque de moi, j'ai décidé de les bluffer avec les gouters: macarons au caramel beurre salé, et bicolors, plus les cakes pops.
J'avais conservé une quinzaine de macarons bicolors. J'ai du caramel beurre salé, il me fallait seulement faire les biscuits pour macarons et les cakes pops. Après une journée de travail intense, voilà les résultats: 50 macarons et 50 cakes pops. Ce fut la première fois que je réalise les cakes pops, j'ai fait exprès de laisser cet aspect pas lisse pour ressembler aux dessins des enfants.
J'espère que Yseult sera fière!!
Galettes aux patates douces pour les plus courageux
Je dis "les plus courageux" car c'est une recette très très chinoise, pas comme les autres dites "chinoises" mais à l'européenne. Traditionellement c'est fait avec de la farine de riz gluant, et c'est cette farine qui donne un aspect collant, qui déplait fortement mon mari (un français de souche).
C'est l'une des spécialités de ma grand-mère maternelles. Elle ne faisait pas souvent la cuisine, mais ses galettes aux patates douces ou aux potirons m'ont vraiment accompagné toute l'enfance. Hier, toujours à la recherche des nouvelles recettes pour faire manger mon bébé d'amour qui, à 15 mois, fait une rupture avec ses purées de légumes, j'ai pensé à ces petites galettes merveilleuses...
Il n'est pas très compliqué à réaliser, il faut:
1 bonne patate douce
100 g de tapioca ou perle de Japon (à mixer avant le mélange pour faciliter la cuisson)
et c'est tout comme ingrédients...
Peller d'abord la patate douce, couper en petit morceau ensuite. Mettre la patate douce à cuire à la vapeur, jusqu'à ce qu'elle soit bien cuite.
Mixer le tapioca ou les perles de Japon, si vous pouvez trouver de la farine de riz gluant c'est top, sinon je ne sais pas si la farine de manioc existe... Ici j'ai simplement mixé les perles de Japon dans mon robot.
Mixer la patate. Mélanger les deux ingrédients, et travailler la pâte jusqu'à ce qu'elle devienne homogène.
Façonner les petites boules, puis les aplatir en forme de galette.
Chauffer de l'huile dans une poele, faire bien dorer une face les galettes, les tourner, baisser le feu, couvrir la poele, laisser cuire pendant 3 à 4 minutes tout en surveillant.
Dans une assiette, poser un essui-tout, puis poser les galettes dessus pour absorber l'excédent de l'huile.
Servir chaud :)
Chez nous, mes deux enfants qui sont vraiment très très européens, Yseult et Theoden n'ont pas aimé du tout, en revenche, Wilhelm qui aime naturellement les plats chinois, a bien apprécié. A vous de tenter votre chance!
Carbonade comme dans le nord... ou pas...
Ma fille Yseult adore désespérément le pain d'épice... Je dis "désespérément" parce qu'elle est la seule de la famille à l'aimer à la folie. Quant à mon fils Wilhelm, il adore tous les ragouts. Et moi, j'adore la nourriture du nord. Dans ce cas là, que de plus qu'une bonne carbonade pour faire plaisir à toute la famille? (On compte pas bébé d'amour qui a en ce moment pour passion de tout émietter et jeter par terre...)
Normalement une vraie carbonade est faite sans les carottes. Mais j'ai deux petits lapins qui les mangent sous toutes ses formes, j'ai décidé d'en mettre "un peu" dedans. Cela donne une apparence de boeuf bourguignon, or au gout, ce n'est pas du tout la même chose.
Ingrédients:
2 bonnes oignons
1 kg de collier de boeuf
1 bouteille de bière brune
2 bonnes tranches de pain d'épice
sel et poivre
Couper grossièrement les oignons, pas besoin de soigner la coupe, car tout va être fondu avec la cuisson. Couper le boeuf en morceaux assez gros.
Dans une cocotte, faire chauffer de l'huile, y faire revenir les oignons, laisser légèrement caraméliser. Y ajouter les morceaux de boeuf, les saisir tous les côtés.
Ajouter toute la bouteille de bière, ainsi que les tranches de pain d'épice, saler et poivre. Couvrir la cocotte, baisser le feu. Laisser mijoter au feu doux pendant au moins 2 heures. Vous pouvez si vous aimez, faire comme moi, ajouter 2 ou 3 carottes à mi-cuisson.
Bon appétit!! :)
Tiramisu à la pistache
Décidément, j'adore le mariage chocolat-pistache. Bon ici ce n'est pas vraiment chocolat-pistache mais cacao-pistache, mais peu importe, un tiramisu à la pistache est vraiement divin!! Je les ai fait avant la corvée de repassage, et ce fut une belle récompense :)
Ingrédients:
Alors pour faire 4 bonne portions, il faut
3 oeufs
85g + 15g de sucre
250g mascarpone
1 cuillère à soupe de pate de pistache
15 biscuits à la cuillère
1 tasse de café, ici car je vais donner les tiramisus aux fenfants, j'ai donc pris du café décafeiné.
cacao en poudre
Sortir 1h avant la préparation le mascarpone pour un mélange plus facile (sinon vous pouvez le placer dans le four à température minimum pendant quelque minutes).
Commencer par séparer les oeufs, mettre les jaunes dans un grand saladier, les blancs dans un autre, ou le bol du robot. Ajouter 85g de sucre dans le jaune, à l'aide d'un fouet, blanchir le mélange. en même temps, on peut monter le blanc en neige, en augmentant progressivement la vitesse, et en ajoutant les 15g de sucre en 3 fois. Ainsi le blanc sera bien structuré, et plus solide pour ensuite.
Ajouter la pate de pistache dans le jaune blanchi, mélanger bien. Ajouter petit à petit le blanc monté (qui forme un bec d'oiseau quand vous retirez le fouet), et mélanger délicatement.
Faire tramper les biscuits dans du café, et déposer une couche au fond du récipient de votre choix, poser de la crème par dessus, et une autre couche de biscuit, et finir par une bonne couche de crème.
Saupoudrer du cacao à l'aide d'un tamis.
Placer au frigo pendant 3h.
Moules-Frites, mes beaux souvenirs belges
Je ne vais pas partager mes recettes de moules-frites aujourd'hui, car je ne vois vraiment pas d'utilité. Ce que j'ai envie de vous partager est mon souvenir d'un été très spécial...
C'était l'été 2003, il y a déjà 10 ans... Je n'ai pas pu rentrer en Chine, et c'était la canicule en France. Ma meilleure copine vivant à Dunkerques à l'époque là, m'a invité de me refugier chez elle. Je me rappelle encore cette soirée chaude d'été, je suis allée à pied pour chercher un billet de train juste après avoir invité...
On était toutes les deux étudiantes, on avait donc décidé de trouver un petit job d'été pour gagner un peu de sous. Les copains disaient qu'à cause de la canicule, les gens venaient par des milliers dans le Nord, et à l'autre côté de la frontière, ils cherchaient beaucoup de manoeuvre dans la restauration. Avec ma copine, on a décidé de s'avanturer en Belgique.
C'était notre 3 ou 4 essais, la patronne d'un restaurant nous a prises toutes les deux. Plus costaude que ma copine, j'ai été envoyé dans la cuisine pour faire la plongeuse (alors je ne sais toujours pas si on dit ça en France aussi ou pas, mais je pense que vous avez compris). Et j'ignorais à ce moment là que c'était pas la cuisine qui m'attendait, mais l'enfer...
On était nourri et hébergé, la journée commence à 9h du matin, et pour moi, c'est avec ma tâche préférée: éplucher les patates... A vrai dire, c'est pas les éplucher, car on était équipé d'une machine à éplucher (une éplucheuse? bon, j'arrête d'inventer les mots...), mais enlever les impuretés sur les patates après le passage d'éplucheuse. Cela dure en général 2h. J'adore ce travail car n'ayant pas besoin de beaucoup d'attention, je le fais en moitié endormie. Après les patates, on a droit à 15 minutes de repos pour le repas avant le premier service. C'est notre petit déjeuner, et je me souviens encore que je pouvais avaler une demie baguette bourrée de nutella ou de beurre de cacahuète... Ensuite, on repend le travail, pour moi, il faut nettoyer les 12 casseroles à moules en cuivre avec un produit super toxique... et vers midi, le vrai service commence, et moi je plonge... Dans la cuisine, la température peut atteindre facilement à 40 degrées. C'est très pénible comme travail, parfois quand je suis au bout du rouleau, et je vois qu'il y a encore une montagne de vaisselle, j'ai vraiment envie de m'enfuir.
Vers 15h30, quand les derniers clients sont partis, on a notre deuxième pause de la journée, on mange, souvent des choses très simples, mais tellement délicieuses, j'ai pris l'habitude de manger de la purée de patates avec de la mayonnaise là-bas, et j'ai toujours gardé cette habitude (au grand désespoir de mon mari).
On reprend le deuxième service à 18h, je plonge toujours... Que j'adore ce métier fantastique... A la longue, mes mains sont tellement abîmées qu'à la moindre agression, la peau craque, et hop une plaie... Et quand on a une dizaine de plaies sur les mains et on les plonge dans l'eau chaude et savonneuse, je vous garentis que ce n'est pas de la joie...
Et c'est vers minuit qu'on ferme la porte du restaurant... En général, on a plus la force de manger quoi que ce s
oit, on a simplement plus la force de faire quoi que ce soit, on se lave, et on monte au lit...Et étrangement, j'ai connu mon plus profond sommeil durant cette période!!! LOL
Malgré toutes ces tortures, j'ai vraiment adoré cette expérience unique de ma vie. J'ai rencontré des gens FORMIDABLES, vraiment formidables... Hachim, mon grand admirateur qui m'apporte toujours les plats sales en me chantant ''Je t'aiiiiiiiiiiimeuuuuuuuuuuu'' avec son accent marocain. Lulu, mon ange, qui vient à ma rescours dès que je fais une bêtisse, m'a jamais grondé, toujours essayé de me rassurer. Daisy, la petite courageuse de 14 ans qui faisait de grosse journée comme nous, qui ne se plaignait jamais... J'ai les larmes aux yeux en pensant à eux, car ils me manquent terriblement, ce sont eux qui m'ont appris que dans la vie, il faut toujours garder la joie de vivre, l'espoir de la vie, et on arrive à surmonter n'importe quelle difficulté. Et ce n'était même pas les 20 malheureux euros que mes patrons me paient me donnaient le courage de me lever tous les matins, mais cette obligation de me donner à fond pour ceux qui me font confiance... Mes collègues comptaient sur moi, je dois aller travailler.
J'ai été obligée de les quitter, car l'été fini, c'était la rentrée pour moi. Mes camarades me serraient dans leurs bras, je me suis éffondrée en larmes, je m'inquiètais énormément comment ils allaient s'en sortir, je m'en voulais terriblement de les laisser tomber, et surtout, je n'avais pas envie de les quitter... C'était alors que Hachim m'a murmuré dans les oreilles: Pleure pas ma belle, tu es en train d'apprendre une chose, l'expérience. Vis à fond ma belle! On t'aime tous...10 ans après, je me rappelle de tout ce qu'il a dit, mot pour mot, ils ont été gravés dans ma mémoire...
Depuis, à chaque fois que je fais les moules, je pense à cet été, à mes chers camarades, je regrette tellement de ne pas avoir gardé le contact avec eux, j'espère du fond du coeur qu'ils vivent tous heureux, car ils le méritent, vraiment...
Un gouter so... australian avec le Banana Bread
Chaque année, l'école de Yseult et Wilhelm présente un pays du monde aux enfants en leur apprenant la culture, la civilisation, les coutumes etc. Jetrouve cette idée vraiment géniale. L'an dernier c'était la Ruissie, et cette année c'est à l'honneurde l'Australie où se trouve mon animal préféré: le koala.
Un jour la classe de Wilhelm a réalisé le Banana Bread, apparemment le cake le plus populaire en Australie. Je ne le connaissais pas du tout, et le soir à la sortie, les parents ont été invités à déguster la réalisation des enfants... Et c'était miam miam!!!! Moi qui adore la banane, trouve ce petit cake absolument délicieux!!!
Pas question d'attendre les vacances pour récupérer la recette dans le cahier de mon fils, je cours à la recherche sur internet THE recette de ce petit cake. J'ai trouvé sur le site marmiton sans souci la recette, mais je voulais quand même vérifier la véritable recette en anglais. Et en mélangeant les deux, j'ai pu sortir un bon banana bread à 1h du matin (et oui, je voulais servir aux enfants au petit déjeuner, et j'ai complètement ignoré qu'il fallait cuire pendant 1 heure...)...
Ingrédients:
250 g de farine
120 g de sucre (vous pouvez augmenter jusqu'à 160 si vous êtes très sucré)
1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude
1 sachet de levure chimique
1 pincée de sel
3 bananes bien mûres
85g de beurre pommade
2 cuillères à soupe de lait
2 oeufs
Préchauffer le four à 175 si chaleur traditionnelle, et 165 si chaleur tournante.
Dans un saladier, mélanger la farine avec la levure la bicarbonate de soude et le sel. Dans un autre saladier, mélanger les oeufs battus, le sucre et le lait les bananes écrasées, si vous avez un robot, vous pouvez le faire dans le robot avec le fouet, c'est 10 fois plus simple, et pas besoin d'écraser les bananes, avec vitesse 6 à 8, les bananes sont écrasées parfaitement. quand c'est bien lisse, y ajouter le mélange farine/levure. battre vigoureusement(ici vitesse 8) pendant à peu près 2 minutes.
Beurrer un moule à cake, y verser la pate, et enfourner pendant 60 minutes. A la fin de cuisson, vérifier la cuisson avec un couteau, s'il resort sec, c'est que le cake est cuit. Laisser refroidir sur le gril.
Il est vraiment très bon. La prochaine fois, je mettrai un peu de noix concassée pour apporter un peu de croquant!
Riz cantonnais façon omelette
Yseult va beaucoup mieux, mais avec son traitement, elle n'a pas encore d'appétit... Ca me fait mal de voir ma petite fille qui dévore d'habitude tout ce que je lui fait tourne et tourne sa fourchette dans son assiette... Alors j'essaie de lui faire quelques choses qu'elle aime bien et rigolo. Donc j'ai pensé au riz cantonnais... Mais j'ai décidé de le faire façon omelette et servi avec, comme dans la région natale de son papy préféré, du ketchup!
Et le résultat est plutôt plaisant, mes deux petits coquins ont courru à la table pour les dévorer en à peine 5 minutes, reste mon bébé d'amour qui a émietté sa part (beaucoup moins cool...)
Ingrédients:
(pour une bonne omelette)
1 petit oignon ou 2 échalotes
1 carotte
1 tranche jambon blanc
1 poignet de petits pois
3 bonnes cuillières à soupe de riz cuit de préférence la veille
4 oeufs
sel et poivre
sauce au soja
Couper en petits dés l'oignon et la carotte, faire chauffer l'huile dans un wok ou une poele, et y faire revenir l'oignon, puis y ajouter la carotte et les pois. Assaisonner légèrement avec du sel, baisser le feu pour que les légumes cuisent doucement. Quand les carottes ne sont plus croquantes, y ajouter le riz et le jambon, assaisonner avec de la sauce au soja. Sortez le mélange, et réserver au chaud.
Battre les oeufs, dans une poele chauffée avec de l'huile, faire une omelette. Poser le mélange légumes/riz sur l'omelette qui n'est pas encore complètement cuite, sur la moitié. plier l'omelette en deux.
Servir si on veux avec du ketchup, c'est notre façon de la déguster. Vous pouvez ajouter d'autres épices si vous voulez. Je n'ai rien mis car les enfants n'aiment pas trop les plats avec un gout trop prononcé. Mais avec un peu de curry ou du cumin, l'omelette aura plus de caractère.
Mes enfants se sont pricipités car ils voulaient pas laisser une seule miette aux pinipons de Yseult!!! :)